«DRING DRING ♪» Voilà le bruit de mon réveil, elle alarme le temps du nouveau jour printanière et surtout du réveil. C'est comme ça que commence une journée de cours, la tête dans le cul et une envie de retournée dormir. Mais bizarrement aujourd'hui ce n'était pas qu'une flemme de se lever, de se préparer et d'aller en cours. Mes vêtements collaient à ma peau par la sueur, une très grosse sueur le mouillait une très grosse partie. Habituellement, même en été, j'ai toujours froid, pourtant aujourd'hui je sentais le contraire. Par la suite j'ouvris les yeux et essayais de me lever, rien n'a faire une migraine atroce me jeta sur l'oreiller comme si j'ai l'impression que la gravité s'acharnait sur moi et l'oreiller, plus possible de bouger. C'est bel et bien la crise, j'étais malade. Pourtant je ne sais absolument pas pourquoi, je le suis devenu... Enfin bref, c'est pas le plus important, qu'en est-il pour les cours, facile, on n'y va pas. Je devrais peut-être prévenir à Leiko que je suis malade non ? Trop tard, j'avais déjà entendu la porte claqué tout à l'heure. Bon autant mieux me recoucher non ? Je pouvais pas non plus, mon cœur était à cent à l'heure. Mon souffle au cœur, m'empêchait presque de respirer, il me fallait absolument de l'air. En plus de ça, ma voix ne pouvais rien sortir à part quelques gémissements. Je sentais proche ma mort. Qu'est ce que je raconte ? C'est qu'une petite fièvre de rien du tout ! Bon faut que je prennes des médicaments ? ... J'en ai pas ! Trop douée.
Tiens, on toque à la porte ?

- Excuse-moi j'entre, tu n'as pas l'air bien, personne n'est resté pour toi ? Disait une fille qui rentrait dans la chambre.

J'essayais de regarder qui s'était, ma vue devenais floue, je ne voyais que c'est cheveux blonds et longs, très bizarre pour une japonaise, les a-t-elle teint ? Ou bien elle n'est pas japonaise ? Qu'est ce que je lui dis ? Ma voix ne sortait pas a part les gémissements. Mince, je suis dans un sale état, j'aime pas qu'on me vois comme ça !
Mes paupières commencèrent à être lourdes que je les ais fermée. Puis bizarrement, ma voix revenait mais elle n'était pas claire et forte.

- Médicaments... fièvre... marmonnais-je.

Ma respiration recommençait à en faire des siennes, je respirais de plus en plus difficilement tout en gémissant de partout. Tout d'un coup, tout à lâcher et je m'endormis profondément.

En fermant les yeux, j'entrais dans un monde sombre. Un monde où je ne sentais plus mes sens. C'était un sentiment pratique car je ne sentais plus de douleur, mais ce monde m'avait envahis de sa solitude. Ce sentiment sans que je le sentais vraiment, m'avais blesser. Et dans ces ténèbres, je sentais la fin, la mort qui m'ouvrait ses bras. N'est-ce qu'un rêve, grand-mère ? ...
Soudainement je retrouvais mes sens grâce à une goutte d'eau me tombant sur le front, je sortais enfin de ces ténèbres. Je commençais la lumière me tombant dessus, puis je me suis réveiller.

J'ouvris les yeux peur de retournée dans ces ténèbres inexplicable. Puis j'entendis quelqu'un rentrer, je me tournée vers cette personne. Je voyais une jeune fille qui rentrait dans ma chambre, non ce n'était pas Leiko, à cet heure, elle devait surement être en cours. C'était une jeune fille grande ou bien s'était le fait que j'étais allongée qu'elle m'avait l'air très grande. Possédant une chevelure longue et blonds, des grands yeux au couleur du ciel, n'est-ce pas une étrangère ? Européenne ? Je ne savais pas, mais c'était bel et bien qu'elle était comme moi un étrangère et elle est très belle. La belle jeune fille me regardait et s'adressa à moi.

- Ca va ? Il faudrait songeai à prendre des médicaments là. S'adressait-elle, plutôt inquiète de mon état.

La blonde était accompagnée d'un sac plastique transparent auquel on pouvait bien voir que ce qu'elle transportait était des médicaments, rien qu'à voir les noms des bouteilles. D'où elle sortait ça ? J'en possède même pas. Elle les a achetées ? Bah quelle question, elle rentrée dans ma chambre avec. Je me leva en me forçant un peu car la migraine me faisait tournée la tête.

- Humm... Ca va enfin peut-être pas. Merci pour les médicaments, je te rembourserai. lui répondais-je la main sur la tête pour pouvoir la tenir debout.

Je repoussais la couverture pour montrée mon bas avec lequel je suis vêtue légèrement d'une culotte. Puis je me leva, malgré la migraine. Je pouvais à peine tenir sur mes jambes, mais je me devais de prendre l'argent que je lui dois et prendre un verre pour les médicaments. Je marchais petit à petit vers une mini étagère près d'un mini frigo, chercher un verre, mais à seulement deux pas, je m'effondrais encore cette fois. Je ne ressentais plus mes jambes comme dans ce monde. Ce rêve devient-il réel ?

J'étais au sol comme un campeur à l'attente d'une proie. Mon corps brûlant comme si mon environnement était un sauna. La migraine avait envahi ma cervelle jusqu'à ne plus pouvoir penser. Tout d'un coup, la blonde à sa compagnie la porta, je ne devais surement pas être très lourde pour elle, même pour n'importe qui, je le sais bien. J'étais une fille plutôt légère pour sa taille pour mon manque de digestion. Soulever par la blonde, je me suis senti véritablement dans les airs. Jusqu'à qu'elle me posa sur le lit, comme si j'atterrissais après s'être senti en lévitation.
Ma tête se sentais mieux sur terre qu'en l'air. J'ai pu retournée la tête vers la jeune fille. Elle était entrain de me chercher un verre et de l'eau, ce que je voulais faire au départ. J'avais une impression d'être un vrai boulet.

- Tu sais t'es pas obligé de me rembourser et évite de te lever pour l'instant, j'aimerais ne pas avoir à te ramasser à la petite cuillère à chaque fois ! Disait-elle, d'une façon énervé mais avec une part d'inquiétude envers moi.

La jeune fille était véritablement inquiète pour moi. Elle me tendais l'eau et un cachet d'un médicament. Je me relevais qui déclencha le retour de ma migraine, mais qu'importe, c'était pour mon bien et pour pouvoir ce que la jeune fille me donna. Je pris en main ce qu'elle me donnait et d'une seule seconde suivante, je mis le cachet dans la bouche et l'avala à l'aide du courant d'eau que je bus.

- Merci et désolée... euh... mademoiselle. Je suis Junree. me présentais-je, tout en la regardant et rendant ce qu'elle m'avait donnée.

Son regard semblait froide malgré la couleur de ses yeux ciels pourtant elle semblait vraiment chaleureuse. J'aimerais vraiment la remercier pour tout. Mais comment ? Elle semblait ne pas aimée que je rendes la pareil, surtout dans mon état, je ne peux vraiment rien faire. Je suis tellement un fardeau aujourd'hui...